Le constat est désolant concernant l’épidémie qui prend de l’expansion de façon inquiétante. Il est important de prendre toutes les mesures nécessaires pour travailler à limiter la propagation. Des consignes précises de protection (sécurité) sont partout officiellement communiquées, c’est essentiel de les appliquer et de se tenir constamment au courant des nouveaux développements et ajustements nécessaires à intégrer dans nos habitudes de vie.
L’isolement est pour beaucoup de gens une réalité avec laquelle composer depuis longtemps, à cause de la maladie, de la pauvreté, et aussi à cause de la violence conjugale ou le manque d’un réseau social. Les personnes qui vivent avec des problèmes de santé mentale ou qui sont empêchées dans leur liberté ne doivent pas sombrer dans la détresse. C’est loin d’être évident de rester solide avec cet état d’urgence, mais il le faut et plus que jamais, il est temps de se donner de la force les uns les autres et de parler de l’humain.
Ce qui nous attend
La recherche nous a toujours montré qu’il y a de l’espoir et les démarches sont nombreuses pour trouver un remède, alors gardons espoir, car tout est possible. Des gens braves et dévoués sont en première ligne pour se battre tous les jours contre le coronavirus afin de stopper l’évolution des dommages et gagner le combat contre la contamination, prenons comme exemple leur courage et surtout écoutons leurs messages.
Soyons compassion envers soi et les autres. Plus que jamais la vie nous envoie un message important, il est urgent de nous conscientiser, d’oublier les conflits inutiles et de s’entraider. Des gestes peuvent grandement appuyer, comme suivre les directives de la santé publique, appeler les proches et moins proches, et rendre service quand c’est possible pour ne pas laisser la solitude et les difficultés donner plus de force à la maladie quelle qu’elle soit.
Le santé mentale, c’est important
En temps de crise mondiale, restons vigilants. Les peurs, l’anxiété, les conséquences parfois douloureuses de l’isolement peuvent plonger dans la détresse psychologique. Ne restons pas seuls avec les problèmes. La distanciation sociale en est une avant tout physique, gardons les liens, et créons encore plus de liens pour faire du bien. Le travail de sensibilisation se fait grâce aux partages et aux contributions de tous les horizons.


